De la simplicité des bornes AirPort

J’en avais parlé il y a quelques semaines, il y a une chose que j’aime vraiment avec les bornes AirPort : la facilité d’installation. J’ai pu tester récemment un boîtier Wi-Fi 802.11ac — la nouvelle norme — et même s’il est plus rapide qu’une borne AirPort dans certains cas (les cartes pour les ordinateurs n’existent pas encore), sa configuration est un passage assez horrible.

Boîtier protégé par défaut au niveau du réseau (pratique pour la première connexion), adresse IP assignée assez étonnante (192.168.11.1, 192.168.11.100 ou 1.1.1.1) et interface horrible.

A côté de ça, on a les bornes AirPort qui s’affichent à configurer directement dans la partie Wi-Fi, et qui se configurent en 3 étapes claires et simples, même pour un néophyte. Rien que pour ça, les bornes AirPort sont une bénédiction, sans compter que les performances sont généralement bonnes : ça reste souvent du haut de gamme, tant au niveau performances qu’au niveau du prix (malheureusement).

Autant dans certains cas Apple limite les fonctions et propose du matériel milieu de gamme au prix du haut de gamme, autant la gamme AirPort est intéressante. Et surtout, c’est efficace avec les Mac : on peut vraiment atteindre 450 mégabits/s en Wi-Fi, ce n’est pas un chiffre théorique comme avec la Freebox Révolution.