Un serveur Nabaztag autonome avec le Raspberry Pi

J’en ai parlé récemment, j’ai un serveur dédié pour mon Nabaztag, fabriqué à partir d’un Raspberry Pi. Le problème, c’est que le lapin original ne se connecte que sur un réseau WEP, et c’est un peu dommage en 2013 de se limiter à cette technologie, qui n’est pas vraiment sécurisée. J’ai donc décidé de régler le problème.

La molette des Nabaztag/tag

Il y a quelques jours, j’ai lu sur le forum des Nabaztag que la molette de certains Nabaztag/tag est inversée. J’ai donc connecté tous mes Nabaztag/tag à mon serveur Raspberry Pi et j’ai testé. Déception : toutes les molettes vont dans le même sens. Mais j’en profite pour revenir sur les différentes versions.

Un serveur Nabaztag maison avec le Raspberry Pi

Après le serveur pour le Nabaztag/tag (et son nombril), voici le serveur pour le Nabaztag original. Le tutorial sera un peu plus copurt, pour deux raisons. D’abord, le Nabaztag original est assez limité et les serveurs alternatifs aussi, ensuite, l’infrastructure Wi-Fi nécessaire est assez contraignante en 2013. C’est donc plus de la démonstration technologique.

Un serveur Nabaztag/tag maison avec le Raspberry Pi

Si vous êtes lecteurs régulier, vous savez sûrement que j’ai des Nabaztag à la maison (huit…), et que les lapins demandent des serveurs pour fonctionner. Le problème, c’est que les serveurs de Violet sont assez foireux (genre 10 minutes de décalage sur l’heure) et que les serveurs OJN ne sont pas toujours pérennes. La solution ? Monter un serveur à la maison. J’ai pris un Raspberry Pi pour cet usage précis, pour plusieurs raisons : ce n’est pas très cher, ça consomme peu, c’est accessible quand on connaît un peu l’informatique.

La lampe DAL, le premier objet connecté

La lampe DAL, c’est le premier objet connecté de Violet, la société à l’origine du Nabaztag. Vendue 790 € en 2003, cette lampe connectée en Wi-Fi s’est peu vendue : une cinquantaine d’exemplaire selon un de ses créateurs. Mais grâce à Isabelle Spanu et avec l’aide d’un des créateurs de la lampe, Sylvain Huet, je peux vous proposer un test de cet objet.

Réutiliser (facilement) un Mir:ror sous Mac OS X

J’en parlais il y a quelques semaines, réutiliser un Mir:ror de chez Violet sur un Mac est finalement assez simple. LCProd a décider de formaliser un peu certaines des explications de mon post. Il en résulte un package qui s’installe facilement.

Rooter Karotz, le lapin Wi-Fi

Le Karotz, on en a déjà parlé, est basé sur une carte de développement ARM avec un système GNU/Linux en interne. Si Violet ne fournit pas de quoi se connecter dessus (ni même les sources…), certains ont trouvé comment passer outre et comment rooter un Karotz. Ce qui suit est une compilation de ce que propose Wizz.cc sur son blog.

Les stickers RFID de Violet

Pendant la longue aventure Violet, la société a proposé des puces RFID, les Ztamps. Et si les séries les plus connues sont uniformes, les premières versions étaient décorées et pouvaient êtres collées directement sur les objets.

Réutiliser un Mir:ror sous Mac OS X

En plus du Nabaztag et du Nabaztag/tag, Violet a aussi produit un périphérique intéressant, le Mir:ror. Ce lecteur de puces RFID était — comme les Nabaztag — dépendant des serveurs et est donc inutilisable actuellement, tout du moins avec ses fonctions de base. Mais il est tout de même possible de l’utiliser. Dans la suite, je vais vous montrer quelque chose qui est plus un PoC (Proof of Concept) qu’une véritable application, mais qui montre que c’est possible.

Lampe DAL : un peu de technique

Terminons la petite série sur le côté technique des produits Violet avec la lampe DAL. Le premier produit de Violet, lancé en 2003, était une lampe intelligente.